Vives sont les eaux
De la source du Larot
Qui bouillonne
Et tourbillonne
Puis traverse la sente
En grande tourmente
Son bleu céladon
Abrite les bourgeons
De Claudinettes
Bien mignonnettes
Qui vont bientôt tapisser
Le vallon encaissé
Dans un écrin forestier
Dès la fin février
Leur blancheur immaculée
Égayera ce coin reculé
Attirant le promeneur
Et le vil cueilleur.
oOo
Photos du 23 décembre 2012
Aujourd'hui, le Larot a cessé de couler
Les bourgeons de Claudinettes sont chez Lupa
bien joli ce poème MamLéa
RépondreSupprimeret cette deuille,
s'agit-il du "puits des fées" du texte ci-après?
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86167m/f270.image.r=larot.langFR
Quel joli texte sur l'ambiance dans nos forêts et dans notre vallon froid !
RépondreSupprimerLe Val Dormant, non nommé de la sorte sur les cartes actuelles, semble correspondre à la partie en amont de la Deuille, partie du vallon où il n'y a pas de rivière, même temporaire. Parfois inondée cependant.
Vraiment étonnante cette résurgence ! Un cadre naturel à découvrir assurément !
RépondreSupprimerMerci d'être passé par là, Olivier.
RépondreSupprimerUn lieu vraiment fondamentalement fascinant...
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