C'était pendant une unique année scolaire, d'octobre 1959 à juillet 1960. "Margot" : c'est ainsi qu'on appelait familièrement le lycée Margueritte de Verdun, qui m'a valu pendant longtemps de confondre le général et la fleur, et de devoir réfléchir à 2 fois pour savoir combien de "t" attribuer à l'un ou à l'autre !
Bien sûr, j'étais interne car j’habitais dans un village distant d'une trentaine de kilomètres. Pour rentrer à la maison, une semaine sur deux, on prenait l'autocar le samedi vers 17 heures, et pour le retour, c'était celui du dimanche soir.
Tout ce qui est écrit dans l'historique du lycée est conforme à ce que j'ai vécu, sauf que les blouses s'alternaient en bleu et en vert, et que la promenade du jeudi était une corvée, parfois édulcorée par le droit (quand la pionne était sympa et que le trajet s'y prêtait) d'acheter un pâtisserie pour agrémenter l'ordinaire du goûter composé de tranches de pain accompagnées d'une barre de chocolat, et servi dans la cour.
À la rentrée 1959, j'ai eu la "chance" d'intégrer un dortoir tout neuf et les première classes qui amorçaient l'extension du lycée.
Il est faux de dire qu'il n'y avait que des filles ! Quelques garçons, pas plus nombreux que les doigts d'une main, fréquentaient la classe de philo. Costumés, chemise blanche et cravatés, pour moi, c'étaient déjà des hommes !
Pour la petite histoire, Danielle Mitterrand a fréquenté aussi Margot du temps que son père, Antoine Gouze, était directeur du lycée Buvignier, le lycée de garçon.
Bien sûr, j'étais interne car j’habitais dans un village distant d'une trentaine de kilomètres. Pour rentrer à la maison, une semaine sur deux, on prenait l'autocar le samedi vers 17 heures, et pour le retour, c'était celui du dimanche soir.
Tout ce qui est écrit dans l'historique du lycée est conforme à ce que j'ai vécu, sauf que les blouses s'alternaient en bleu et en vert, et que la promenade du jeudi était une corvée, parfois édulcorée par le droit (quand la pionne était sympa et que le trajet s'y prêtait) d'acheter un pâtisserie pour agrémenter l'ordinaire du goûter composé de tranches de pain accompagnées d'une barre de chocolat, et servi dans la cour.
À la rentrée 1959, j'ai eu la "chance" d'intégrer un dortoir tout neuf et les première classes qui amorçaient l'extension du lycée.
Il est faux de dire qu'il n'y avait que des filles ! Quelques garçons, pas plus nombreux que les doigts d'une main, fréquentaient la classe de philo. Costumés, chemise blanche et cravatés, pour moi, c'étaient déjà des hommes !
La façade, rue Saint-Sauveur. Ce n'est plus l'entrée des élèves et rien n'indique de ce côté qu'il s'agit d'un lycée. La fenêtre à droite de la porte correspondait au bureau de la directrice.
L'entrée actuelle se fait place Galland....
... d'où je peux voir, grâce à mon objectif de paparazzi, que rien n'a changé dans la cour.
L'entrée actuelle se fait place Galland....
... d'où je peux voir, grâce à mon objectif de paparazzi, que rien n'a changé dans la cour.
Cette porte était la "nouvelle" entrée des externes.
Pour la petite histoire, Danielle Mitterrand a fréquenté aussi Margot du temps que son père, Antoine Gouze, était directeur du lycée Buvignier, le lycée de garçon.
Joli prénom Margot.
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