Un inventaire non exhaustif des premières fleurs de fin d'hiver/début du printemps, par ordre alphabétique...
L'Anémone hépatique pointe encore timidement le bout de son nez en forêt au milieu des feuilles mortes et de ses propres feuilles trilobées datant de l'an denier.
Le Cornouiller mâle n'est pas en avance cette année. Il lui arrive de tenir compagnie aux noisetiers dès la fin février. Pour les cornouilles comme pour les noisettes, rendez-vous en septembre.
Une des premières Euphorbe des bois, encore en bouton.
L'Hellébore explose depuis un moment en groupes parfois importants dans certains sites. La plupart sont déjà en graines. Je les trouve si belles, que je ne peux me retenir de les prendre en photo !
Le Lamier pourpre fleurit sur les bords de chemins.
Les pâquerettes sont là depuis un moment, dans les endroits herbeux.
La pervenche est encore timide et se cache dans les vallons ombragés.
Les chatons argentés du Saule Marsault, présent un peu partout.
Les Scilles à deux feuilles, parfois blanches, sont en pleine floraison.
Et la Véronique de Perse est omniprésente dans les vignes ou sur les bas-côtés herbeux, en compagnie des lamiers sus-cités.
L'Anémone hépatique pointe encore timidement le bout de son nez en forêt au milieu des feuilles mortes et de ses propres feuilles trilobées datant de l'an denier.
Le Cornouiller mâle n'est pas en avance cette année. Il lui arrive de tenir compagnie aux noisetiers dès la fin février. Pour les cornouilles comme pour les noisettes, rendez-vous en septembre.
Une des premières Euphorbe des bois, encore en bouton.
L'Hellébore explose depuis un moment en groupes parfois importants dans certains sites. La plupart sont déjà en graines. Je les trouve si belles, que je ne peux me retenir de les prendre en photo !
Le Lamier pourpre fleurit sur les bords de chemins.
Les pâquerettes sont là depuis un moment, dans les endroits herbeux.
La pervenche est encore timide et se cache dans les vallons ombragés.
Les chatons argentés du Saule Marsault, présent un peu partout.
Les Scilles à deux feuilles, parfois blanches, sont en pleine floraison.
Et la Véronique de Perse est omniprésente dans les vignes ou sur les bas-côtés herbeux, en compagnie des lamiers sus-cités.
Superbe série ! Je ne les ai pas encore toutes chez moi.
RépondreSupprimerElles sont certainement présentes aussi chez toi. Je trouve que les pervenches sont rares.
Supprimer