4 circuits "nature" ont été mis en valeur par la commune de Laxou. Celui du Fond d'Hardeval, long de moins de 4 kilomètres, passe majoritairement sur la commune de Villers-les-Nancy.
Le trajet débute au bout du boulevard des Aiguillettes, passe sous le centre psychothérapique de Maréville, puis emprunte un sentier qui longe le plateau au pied du bois des Fourasses. Sur notre gauche, d'anciens vergers et jardins abandonnés font le bonheur d'individus peu scrupuleux qui en profitent pour y déposer leurs ordures ! J'y ferais volontiers la rapine de quelques mirabelles, quetsches et pommes ou la cueillettes de mûres pour mes coulis et confitures !
Passée une prairie, on plonge dans le vallon vers la source du ruisseau de l'Asnée que nous traversons à gué. Le ruisseau jaillit au milieu de l'affleurement de minette et provient d'un ancien captage abandonné en 1932 qui était destiné à alimenter Nancy et dont les galeries sont aujourd'hui utilisées comme spéléodrome. Nous suivons le ruisseau qui dévale la pente en chantant sur les marches de tuf qu'il a lui-même déposé, descendant le vallon vers le nord-est. Les jardins sont ici bien entretenus. Un détour nous conduit devant un ancien lavoir à côté duquel pousse un magnifique aulne impérial à la jeune silhouette bien élégante.
Nous revenons à notre point de départ après avoir traversé le magnifique jardin de l'Asnée au milieu duquel les bâtiments art déco de l'ancien séminaire sont entourés d'arbres majestueux. Le court trajet aérien de moins d'un kilomètre du ruisseau se termine dans le parc. Busé au delà, il poursuit son cours par voie souterraine.
Le document des balades nature est disponible à la mairie de Laxou, le plan global peut être téléchargé sur le site de la ville de Laxou.
Le trajet débute au bout du boulevard des Aiguillettes, passe sous le centre psychothérapique de Maréville, puis emprunte un sentier qui longe le plateau au pied du bois des Fourasses. Sur notre gauche, d'anciens vergers et jardins abandonnés font le bonheur d'individus peu scrupuleux qui en profitent pour y déposer leurs ordures ! J'y ferais volontiers la rapine de quelques mirabelles, quetsches et pommes ou la cueillettes de mûres pour mes coulis et confitures !
Passée une prairie, on plonge dans le vallon vers la source du ruisseau de l'Asnée que nous traversons à gué. Le ruisseau jaillit au milieu de l'affleurement de minette et provient d'un ancien captage abandonné en 1932 qui était destiné à alimenter Nancy et dont les galeries sont aujourd'hui utilisées comme spéléodrome. Nous suivons le ruisseau qui dévale la pente en chantant sur les marches de tuf qu'il a lui-même déposé, descendant le vallon vers le nord-est. Les jardins sont ici bien entretenus. Un détour nous conduit devant un ancien lavoir à côté duquel pousse un magnifique aulne impérial à la jeune silhouette bien élégante.
Nous revenons à notre point de départ après avoir traversé le magnifique jardin de l'Asnée au milieu duquel les bâtiments art déco de l'ancien séminaire sont entourés d'arbres majestueux. Le court trajet aérien de moins d'un kilomètre du ruisseau se termine dans le parc. Busé au delà, il poursuit son cours par voie souterraine.
A deux mille bornes de distance, nous constatons en majesté que vous venez raouer sur nos terres en notre absence, qui plus est pour emprunter notre parcours d'élection. Z'avez raison, ce coin est intéressant. Votre texte est bien, il dit plein de choses. (Il faudrait se pencher à l'occasion sur la question des cours d'eau souterrains de l'agglo de Nancy, de l'Asnée au Nabécor - mais quelqu'un l'a sans doute déjà fait.)
RépondreSupprimerTexte et photos donnent vraiment envie de faire ce(s) circuit(s). Merci pour ce billet fort intéressant.
RépondreSupprimerJ'en profite pour rappeler l'énorme travail d'Etienne Martin dans le cadre de sa thèse, avec ce qui concerne les ruisseaux alimentant Nancy et celui de l'Asnée en particulier. Tu connais très probablement.
" L’hydrosystème domestique et urbain à Nancy, étude de géographie historique"
Thèse de géographie, Université de Nancy 2, 2010, par Etienne MARTIN.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/NANCY2/doc530/2010NAN21010.pdf
Non, je ne connaissais pas encore... Voici donc une réponse pour mon ami POP9.
RépondreSupprimer..qui remercie cirta et la taulière de ces précieuses pages.
RépondreSupprimer