Excellente idée !
C'est un lieu de passage incontournable ! Enfin quand je dis "incontournable"... parce qu'elle tourne bien et je soupçonne même Raymond Devos (*) et Jacques Tati (**) de s'en être inspirés. Alors, "vous ferez bien un petit tour de manège avec moi ?", comme disait une petite grand-mère qui fréquentait encore les lieux il y a quelques années avec un sourire engageant.
Au passage, vous pourrez-choisir votre troquet… puisqu'il y en a exactement quatre, régulièrement répartis entre les quatre rues, ainsi qu'un salon de thé. C'est dire qu'il y en aura bien un à votre convenance, à l'ombre ou au soleil, en terrasse chauffée ou sur une banquette confortable. Mais en sortant, ça m'étonnerais que le petit gris des Côtes de Toul ne vous fasse pas tourner la tête !
(21 septembre et 10 octobre 2010)(*) Plaisir des sens
(**) Playtime
Endroit très intéressant. Et puis j'ai découvert lors d'une récente balade que les ruelles qui se trouvent derrière les maisons de la Place ronde forment un deuxième cercle plein de pavés, de mauvaises herbes, de bagnoles mal garées et de chats. Ça m'a plu aussi.
RépondreSupprimerVoilà un article qui mériterait bien d'exister sur Lorraine de cœur ;-)
RépondreSupprimer@POP : j'aime bien les passages A, B, C et D, dont un est "encombré" par un mur romain, très mal mis en valeur !
RépondreSupprimer@ François : j'ai déjà fait l'éloge de cette place sur le blog Mirabelle :
http://mirabelle.lorraine-cafe.fr/?post/2010/09/04/Toul-Place-des-3-Eveches
et
http://mirabelle.lorraine-cafe.fr/?post/2010/01/09/Toul-Place-des-trois-eveches
je ne souhaite pas non plus faire de la pub pour les bistrots ! ^^
Je trouverai bien autre chose à montrer, sur Toul!
;-)
C'est très, très plaisant de boire un demi à la terrasse de l'un de ces bars en plein été ...
RépondreSupprimerEh oui. Je crois que c'était au Central que je m'installais avant d'aller au travail, quand j'étais en poste à Toul et que j'arrivais en avance.
RépondreSupprimerCe qui était quand même le plus rare possible: j'ai une réputation de retardataire à tenir.
Et du coup, comme tu rêvais devant ta p'tite mouse, en écoutant le doux susurrement du jet d'eau, t'étais en retard à Valcourt.
RépondreSupprimerLa mousse du café, hein, avant le boulot. La "p'tite mousse", c'était plus après. Et à Nancy!
RépondreSupprimer