Tout aussi congelées, les roselières de Typhas explosés et de Phragmites aux plumets argentés sont de jolis rideaux sur les berges durcies par le froid.
C'est loin ? Non, tu n'as qu'à suivre la rivière !
Bzzzz
Il y a 1 mois
dimanche 4 janvier 2009
Au bord de la Moselle
Les bords de la Moselle sont un lieu de promenade sûrs pour un dimanche d'hiver ! Les pêcheurs, armés de leurs simples gaules, y sont bien inoffensifs, parfois aussi frigorifiés que les poissons qui ne mordent pas à leurs hameçons. Et si quelques colverts et quelques cygnes agrémentent notre promenade, ils ne craignent pas non plus le fusil du moindre chasseur.
Tout aussi congelées, les roselières de Typhas explosés et de Phragmites aux plumets argentés sont de jolis rideaux sur les berges durcies par le froid.
C'est loin ? Non, tu n'as qu'à suivre la rivière !
Tout aussi congelées, les roselières de Typhas explosés et de Phragmites aux plumets argentés sont de jolis rideaux sur les berges durcies par le froid.
C'est loin ? Non, tu n'as qu'à suivre la rivière !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
A-t-il fallu casser la glace au brise glace?
RépondreSupprimerE
Hello, E !
RépondreSupprimer;-)
Bah, même pas ! Canal, étangs et mortes sont figés, mais la Moselle, elle charriait à peine quelques glaçons... Ça pourrait venir ! Le brise-glace, ça fait longtemps qu'il n'est pas venu par ici ! C'est p'têt' ça, le réchauffement de la planète ?
Il passe toujours derrière chez moi sur le canal, comme l'année dernière dernière... certes, le canal n'est pas la Moselle, et son brise-glace est une barge de maintenance poussée par un vieux coucou aquatique un peu poussif!
RépondreSupprimerSinon, un Breton soldat près de Pont-à-Mousson note que le 5 mars 1917, la Moselle y charriait "d'énormes glaçons dans un très fort courant"...
Les temps changent...