Dernière mine en France. On y exploite "l'or blanc", essentiellement du sel de déneigement et une petite production de sel de table vendu sous la marque "La Baleine".
La possibilité de visiter la mine est très récente et on la doit à la volonté de Denis Lhommé, 3ème génération d'une famille de mineurs. Il fut notre guide ce matin du 24 avril.
Après les consignes (drastiques) de sécurité et l'équipement d'un casque rouge et d'un gilet jaune, nous sommes descendus à 160 mètres sous terre par un ascenseur rudimentaire où nous étions entassés comme 6 sardines dans leur boite (le guide et 5 visiteurs).
Le circuit (assez court) de la visite est tracé en vert sur le plan où le quadrillage représente l'exploitation avec ses galeries et piliers.
Larges galeries, sans une once d'humidité, mais où la poussière de sel gris est omniprésente au sol. Galeries parfois parcourues avec le simple éclairage de nos casques, plus faible que celui des mineurs. On ne voit pas le front de taille, sauf en vidéo. Un musée sous terre montre du matériel ancien.
Les photos sont interdites, sauf dans la salle de garde où se faisait l'accueil, je n'ose même pas poster ma vilaine photo d'une photo exposée dans cette salle. Vous en trouverez des tas sur Internet grâce à votre moteur de recherche préféré, je n'aurais pas forcément fait mieux.
La possibilité de visiter la mine est très récente et on la doit à la volonté de Denis Lhommé, 3ème génération d'une famille de mineurs. Il fut notre guide ce matin du 24 avril.
Après les consignes (drastiques) de sécurité et l'équipement d'un casque rouge et d'un gilet jaune, nous sommes descendus à 160 mètres sous terre par un ascenseur rudimentaire où nous étions entassés comme 6 sardines dans leur boite (le guide et 5 visiteurs).
Le circuit (assez court) de la visite est tracé en vert sur le plan où le quadrillage représente l'exploitation avec ses galeries et piliers.
Larges galeries, sans une once d'humidité, mais où la poussière de sel gris est omniprésente au sol. Galeries parfois parcourues avec le simple éclairage de nos casques, plus faible que celui des mineurs. On ne voit pas le front de taille, sauf en vidéo. Un musée sous terre montre du matériel ancien.
Les photos sont interdites, sauf dans la salle de garde où se faisait l'accueil, je n'ose même pas poster ma vilaine photo d'une photo exposée dans cette salle. Vous en trouverez des tas sur Internet grâce à votre moteur de recherche préféré, je n'aurais pas forcément fait mieux.
Le site se trouve le long de la D2 menant à Dombasle depuis Nancy. Par delà la Meurthe canalisée et la voie ferrée, se dresse la magnifique basilique de Saint-Nicolas de Port. Photo prise depuis l'entrée.
Denis Lhommé nous accueille. (Photo AM Braquart, organisatrice)
L'entrée sur le site industriel se fait après l'appel sur la liste fournie à l'inscription, comportant aussi votre date de naissance. Briefing dans la salle des gardes. Le billet d'entrée est donné en échange de la carte d'identité et des 15 euros de participation. (Photo AM Braquart, organisatrice)
Les mineurs respectent la tradition en honorant Sainte Barbe, leur patronne, fêtée lors d'une procession en ville le 4 décembre.
Le groupe... au fond, les belles y sont... devant ! Laquelle suis-je ? Indice : je porte un gilet jaune ! ^^
Nous sommes devant un énorme engin "corrodé". Je n'ai pas bien compris la différence avec "rouillé"... une histoire d'eau ou pas, il me semble.
(Photo Denis Lhommé)
Chargement des camions de sel afin de reconstituer les stocks du Grand-Est pour l'hiver prochain.
Vidéo France3, avec le même guide, pour l'ambiance :
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