Prouvé - l'architecte- a chassé son aïeul dont les grands tableaux aux magnifiques cadres dans le plus beau style de l'École de Nancy, sont désormais accrochés dans l'escalier art déco. Le Jean a aussi chassé la Bataille de Nancy et le cadavre du Téméraire s'est perdu quelque part dans les étages. La nouvelle installation après travaux, accueille le visiteur avec des œuvres de l'architecte-disigner depuis 2012 -année Prouvé oblige. Chaises, tables, panneaux de maisons, vidéo…. Peut-être s'en repentira t-on ? Ce Prouvé n'est-il pas ici à la limite hors sujet ? En tout cas, cet accueil est violent !
Le rez-de-chaussée est désormais entièrement consacré aux XXe et XXIe siècles qui passe du figuratif le plus fidèle de Friant (à cheval sur deux siècles) à l'abstrait le plus dérangeant.
Un rapide survol au travers de quelques œuvres dans le désordre, pour se mettre dans l'ambiance.
Nous sommes accueillis par les "yeux" d'un panneau à hublots. Jean Prouvé (1953).
La magie des lucioles (Infinity mirror Rom, Fireflies on the water) de la Japonaise polyvalente Yayoi Kusama opère particulièrement auprès des enfants. Ne pas oublier de refermer la porte derrière soi.
Les Friant, de grand format, tristes ou non, ont la faveur du public. Ici, L'idylle sur la passerelle, tableau qui porte d'autres titres (Les amoureux - Soir d'automne) a retenu l'attention de Philippe Claudel qui le place en couverture de son ouvrage "Au revoir, monsieur Friant", comme si la scène avait lieu à Dombasle.
L'escale de François Desnoyer (1940) est une superbe composition empreinte de cubisme et de fauvisme.
Un des tableaux à mon sens le plus laid du musée avec cette femme sur canapé (pas très sexy et aux genoux cagneux) peinte par Francis Grüber en 1945.
Du noir, monochrome, vu par le croate Julije Knifer. Tableau(x) au titre exact : DIJ VII 1, 2, 3 juillet. Qu'on m'explique ! J'imagine les têtes que feraient Pierre Arditi, André Dussolier et Fabrice Luchini !
-- > ART
En revanche, la forme de la sculpture au premier plan m'inspire davantage.
Quant a cette indélocalisable anamorphose, Ellipse orange évidée par 7 disques de Felice Varini, je n'en ai pas parfaitement réussi la photo qui présente un léger décalage.
Le rez-de-chaussée est désormais entièrement consacré aux XXe et XXIe siècles qui passe du figuratif le plus fidèle de Friant (à cheval sur deux siècles) à l'abstrait le plus dérangeant.
Un rapide survol au travers de quelques œuvres dans le désordre, pour se mettre dans l'ambiance.
oOo
Nous sommes accueillis par les "yeux" d'un panneau à hublots. Jean Prouvé (1953).
La magie des lucioles (Infinity mirror Rom, Fireflies on the water) de la Japonaise polyvalente Yayoi Kusama opère particulièrement auprès des enfants. Ne pas oublier de refermer la porte derrière soi.
Les Friant, de grand format, tristes ou non, ont la faveur du public. Ici, L'idylle sur la passerelle, tableau qui porte d'autres titres (Les amoureux - Soir d'automne) a retenu l'attention de Philippe Claudel qui le place en couverture de son ouvrage "Au revoir, monsieur Friant", comme si la scène avait lieu à Dombasle.
L'escale de François Desnoyer (1940) est une superbe composition empreinte de cubisme et de fauvisme.
Un des tableaux à mon sens le plus laid du musée avec cette femme sur canapé (pas très sexy et aux genoux cagneux) peinte par Francis Grüber en 1945.
Du noir, monochrome, vu par le croate Julije Knifer. Tableau(x) au titre exact : DIJ VII 1, 2, 3 juillet. Qu'on m'explique ! J'imagine les têtes que feraient Pierre Arditi, André Dussolier et Fabrice Luchini !
-- > ART
En revanche, la forme de la sculpture au premier plan m'inspire davantage.
Quant a cette indélocalisable anamorphose, Ellipse orange évidée par 7 disques de Felice Varini, je n'en ai pas parfaitement réussi la photo qui présente un léger décalage.
Il manque un musée d'art moderne à Nancy. Qu'on aime ou qu'on aime pas, il y trouverait sa place au sein d'une ville qui possède une école des Beaux-arts, plusieurs galeries, et fut à la pointe de l'art avec l’École de Nancy.
joli reportage
RépondreSupprimerMerci... mais comme je l'ai écrit, ce n'est qu'un survol !
Supprimer"Les amoureux" ou "Idylle sur la Passerelle" ou "Soir d'automne".
RépondreSupprimerConverti à la peinture claire et en plein air, Friant choisit un de ses lieux favoris de promenade et de rêveries, le site nancéen des Grands Moulins. Ici, les jeunes gens sont représentés sur la passerelle du Pont Cassé, sur la Meurthe.
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http://histoiredesartsrombas.blogspot.fr/2008/10/analyse-dun-tableau.html