Une auberge (elle n'a pas l'appellation de ferme-auberge) que nous venons de découvrir. Comme partout sur les sommets vosgiens, on y propose le repas marcaire, sauf qu'ici, c'est le choix unique, donc, on ne vous apporte pas la carte.
Vous pouvez prendre le menu complet : soupe, tourte/salade, tofailles largement accompagnées de plusieurs tranches de petit salé/fumé de porc braisé, salade, fromage ou dessert (ne pas hésiter à choisir le fromage blanc arrosé de crème allongée de kirsch qui fera office de fromage-dessert). Le repas total vaut bien ses 17 euros auquel il faut ajouter le vin : un pinot noir d'Alsace aura fait l'affaire. Ne pas oublier l'indispensable bouteille de Carola, celle dont les fines bulles aident à digérer. Les petits estomacs peuvent opter pour une version réduite, sans un ou plusieurs plats.
L'accueil est familial et convivial. La salle où nous avons diné n'est pas très grande. On s'y installe autour de grandes tables avec des voisins de hasard assis sur le même banc. C'est chaleureux et dépourvu de décorations kitchs. Le jeune homme qui nous sert à un accent alsacien prononcé fort sympathique et le teint coloré par le soleil des cimes. Il s'enquiert de notre bien-être à plusieurs reprises, nous propose du rab et se réjouit si "tout va bien".
On en ressort la peau-du-ventre-bien-tendu-merci-petit-Jésus, avec juste le seul regret que le repas soit un peu tropriche salé.
Vous pouvez prendre le menu complet : soupe, tourte/salade, tofailles largement accompagnées de plusieurs tranches de petit salé/fumé de porc braisé, salade, fromage ou dessert (ne pas hésiter à choisir le fromage blanc arrosé de crème allongée de kirsch qui fera office de fromage-dessert). Le repas total vaut bien ses 17 euros auquel il faut ajouter le vin : un pinot noir d'Alsace aura fait l'affaire. Ne pas oublier l'indispensable bouteille de Carola, celle dont les fines bulles aident à digérer. Les petits estomacs peuvent opter pour une version réduite, sans un ou plusieurs plats.
L'accueil est familial et convivial. La salle où nous avons diné n'est pas très grande. On s'y installe autour de grandes tables avec des voisins de hasard assis sur le même banc. C'est chaleureux et dépourvu de décorations kitchs. Le jeune homme qui nous sert à un accent alsacien prononcé fort sympathique et le teint coloré par le soleil des cimes. Il s'enquiert de notre bien-être à plusieurs reprises, nous propose du rab et se réjouit si "tout va bien".
On en ressort la peau-du-ventre-bien-tendu-merci-petit-Jésus, avec juste le seul regret que le repas soit un peu trop
Et pour plus d'explications sur comment c'est, au Huss, cliquer ICI.
ça sent la campagne à plein ! le menu ... pas mal copieux ! j'explose !
RépondreSupprimerLa montagne. Le froid et la rando, ça donne faim !
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