Entre les belles forêts de la Haye caractérisant le plateau calcaire et la plaine de la Woëvre où les argiles hébergent un patchwork d'étangs, de prairies humides et de rares cultures, se trouve une bande de terrains marno-calcaires (datant du Bathonien) particulièrement adaptés à la culture. Céréales, colza et maïs alternent au gré d'un assolement dans lequel on a depuis longtemps shunté l'étape jachère, boostant les rendements à grand coup de pesticides et d'engrais.
Du coup, quand on traverse ce paysage sur les grandes routes droites trahissant l'héritage gallo-romain, on se permet de croire que c'est un désert.
Mais on se trompe ! En effet, quelques bas-côtés de chemins, petits espaces délaissés pas la charrue, haies, notamment à proximité des villages, abritent une biodiversité qui n'est pas un vain mot.
Du coup, quand on traverse ce paysage sur les grandes routes droites trahissant l'héritage gallo-romain, on se permet de croire que c'est un désert.
Mais on se trompe ! En effet, quelques bas-côtés de chemins, petits espaces délaissés pas la charrue, haies, notamment à proximité des villages, abritent une biodiversité qui n'est pas un vain mot.
Quelques fleurs plus ou moins "banales" :
Campanule raiponce
Mélampyre des champs
Œillet des Chartreux
Sauge des prés
Deux orchidées :
Orchis pyramidal
Loroglosse
Deux fleurs messicoles, rares en Lorraine :
Adonis d'été, variété citrine
Orlaya à grandes fleurs
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Dis-moi voir ?