Sur la façade, des pigeons roucoulent et caracoulent, volettent et se déplacent de ci de là, d'un chou à l'autre, d'une corniche à l'autre.
Un couple de choucas bruyant prépare son lit derrière les rideaux de pierre.
Quant aux corbeaux freux (à moins que ce ne soit des corneilles : la différence est subtile !) au chant sinistre, ils animent les jardins de l'hôtel de ville dans le grand platane où ils ont depuis des lustres installé leur corbeautière aux nids grossiers.
Mais toujours pas de faucon pèlerin !
(Novembre 2011-janvier 2012)
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