jeudi 12 janvier 2012

Oiseaux de pierre, oiseaux de plume à la cathédrale de Toul

Bien sûr, le pélican veille, tout là haut de son pilastre de la tour nord que je découvre ornée de plusieurs volatiles rigolards. Des oiseaux, il y en a aussi beaucoup sous forme de gargouilles qui pointent leurs silhouettes élancées au-dessus du vide.
Sur la façade, des pigeons roucoulent et caracoulent, volettent et se déplacent de ci de là, d'un chou à l'autre, d'une corniche à l'autre.
Un couple de choucas bruyant prépare son lit derrière les rideaux de pierre.
Quant aux corbeaux freux (à moins que ce ne soit des corneilles : la différence est subtile !) au chant sinistre, ils animent les jardins de l'hôtel de ville dans le grand platane où ils ont depuis des lustres installé leur corbeautière aux nids grossiers.













Mais toujours pas de faucon pèlerin !

(Novembre 2011-janvier 2012)

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