La Blanche-Côte

Depuis la Blanche-Côte

La Meuse et le village de Pagny-la-Blanche-Côte, une vue dont on ne se lasse pas.

Le visage de Jeanne

"Banc-ski" devant la vieille maison

Coq et clocher : Uruffe (54)

Église néogothique, XIXe siècle, sous le patronage de Saint-Martin.

Avec un beau paratonnerre radioactif au-dessus du coq !

La vieille voiture devant la vieille maison

Quand la Meuse est en fleurs

Renoncule flottante (Ranunculus fluitans)

Chardon "lorrain" - Qui s'y frotte s'y pique (562)

Laxou, à l'intersection de l'avenue de la Résistance et de l'avenue de Boufflers. "Mission 1940".
(Je n'ai rien trouvé sur ce monument, à l'ombre de grands pins, au-dessus du garage Peugeot et que je n'avais jamais remarqué jusqu'à ce que Dadu Jones le prenne en photo).

Chardon sur le blason

Et chardons sur les deux côtés du monument.

Petit capricorne (Cerambyx scopolii)

Visiteur méridien, dans le jardin.

Les tondeuses de la pelouse de Troussey

Aller à Troussey et regarder passer un train…

Clyte

Clyte guêpe, Clyte d'Eastwood ou Clyte bélier (Clytus arietis)

Les jardins au-dessus du village

Chardon "lorrain" - Qui s'y frotte s'y pique (561)

Au village : les passages sans nom (2)

Deux passages entre la Grande-rue et la route vers Chaudeney.

Au village : les passages sans nom (1)

Deux passages étroits entre la rue du Faubourg et la digue.

Carrière du Chanot

Une des multiples carrières autrefois exploitées par Solvay. Située en pleine forêt, au sud du village. On y extrayait les calcaires bajociens (oolithe miliaire supérieure et oolithe à Clypeus ploti). La pierre était chargée sur des péniches au niveau de La Rochotte.
Joli site à orchidées et fleurs calcicoles xérophiles.

Au fond, l'écluse 52 (abandonnée), la maison éclusière (habitée) et l'usine de moteurs de bateaux (propriété de VNF).

Rue de l'Étang

Cette voie, exempte de panneau à son nom, n'est pas une rue à proprement parler. Elle passe entre le terrain de foot et les marronniers, elle franchit la digue et l'ancien canal, puis donne accès à une ancienne maison éclusière par une mauvaise chaussée pleine de nids de poule. Goudronnée jusqu'à la digue, jusqu'en 1974, elle donnait accès à un remarquable pont métallique à arceaux, puis type Bailey après destruction d'une arche, (en témoignent les multiples cartes postales anciennes) avant la mise à grand gabarit de la Moselle et la construction du nouveau pont, légèrement en amont. La rue fait ensuite un angle droit pour desservir une unique maison d'habitation et des terrains autrefois occupés par le chantier de péniches Mourlon dont les hangars abandonnés sont surveillés par un molosse vigilant. Une barrière empêche le libre accès de tout véhicule à l'étang. C'est une ancienne sablière creusée au-lieu-dit "le Quart de sable", occupé encore lors de la dernière guerre par des jardins potagers ayant permis aux habitants de cultiver quelques patates leur permettant de se nourrir, et même, dit-on, de fournir l'ennemi.