Ce vitrail se trouve sous le grand orgue, au-dessus d'un hôtel. Il n'y a pas de portail ouvrant l'édifice sur la façade ouest vers l'ancien palais épiscopal, l'entrée dans la cathédrale se faisant par un portail sur le flanc nord, depuis la place Monseigneur Ginisty.
Je n'avais pas identifié le personnage central, coiffé en évêque, mais ne portant pas de crosse. Un SOS lancé sur Facebook m'a donné la solution. Merci aux Elles plurielles et à Kévin Goeuriot pour m'avoir aidée.
Voici ce qu'en dit Michaël George sur Twitter :
"Il semblerait que la plus ancienne attestation du culte de Saint-Nicolas en Lorraine soit verdunoise, un autel lui étant dédié depuis 1046 au moins dans la crypte occidentale de la cathédrale Notre-Dame de Verdun, ce que rappelle le vitrail situé dans la rosace du Vieux-Chœur.
On reconnaît ici saint Nicolas, patron des marins. Démonté avant les premiers bombardements de la Première Guerre mondiale, ce vitrail est le seul qui fut épargné par le conflit et constitue donc le plus ancien vitrail de la cathédrale de Verdun, même s'il ne date que de 1873."
Et Kévin Goeuriot :
"Ici, il s'agit bien d'un évêque, probablement saint Nicolas, dont l'hagiographie officielle nous dit qu'il apaisa une tempête en mer, avant d'obliger les marins, rassurés, à aller délivrer leur cargaison de blé dans un port qui souffrait alors de famine. Les ports sont représentés dans les lobes du médaillon."
Je n'avais pas identifié le personnage central, coiffé en évêque, mais ne portant pas de crosse. Un SOS lancé sur Facebook m'a donné la solution. Merci aux Elles plurielles et à Kévin Goeuriot pour m'avoir aidée.
Voici ce qu'en dit Michaël George sur Twitter :
"Il semblerait que la plus ancienne attestation du culte de Saint-Nicolas en Lorraine soit verdunoise, un autel lui étant dédié depuis 1046 au moins dans la crypte occidentale de la cathédrale Notre-Dame de Verdun, ce que rappelle le vitrail situé dans la rosace du Vieux-Chœur.
On reconnaît ici saint Nicolas, patron des marins. Démonté avant les premiers bombardements de la Première Guerre mondiale, ce vitrail est le seul qui fut épargné par le conflit et constitue donc le plus ancien vitrail de la cathédrale de Verdun, même s'il ne date que de 1873."
Et Kévin Goeuriot :
"Ici, il s'agit bien d'un évêque, probablement saint Nicolas, dont l'hagiographie officielle nous dit qu'il apaisa une tempête en mer, avant d'obliger les marins, rassurés, à aller délivrer leur cargaison de blé dans un port qui souffrait alors de famine. Les ports sont représentés dans les lobes du médaillon."