Et c'est tout si on fait abstraction de l'unique place : la place de l'abbé Guyot et de quelques écarts : Sainte Reine, La Rochotte, l'écluse 52. Je passerai sous silence les chalets, qui, telles les paillotes corses, ne devraient pas exister, au-dessus du cimetière ou dans la vallée de l'Arot et je n'oublierai pas de citer la "rue" de l'étang qui n'est qu'un chemin de terre en impasse sur la ballastière.
Le tour du village est ainsi bouclé.
La rue Haute est assez particulière en ce sens qu'il y a la partie "basse" de la rue Haute, et la partie "haute" de la rue Haute, séparées l'une de l'autre par l'église…
Quelqu'un suit encore ?
Sachant qu'une seule maison porte un numéro pair, que certaines maisons n'existent plus et que d'autres se sont construites sur d'anciens jardins, et sachant que la numérotation n'a pas été réactualisée, on comprendra (ou pas ?) que les livreurs et les facteurs stagiaires ou nouveaux puissent s'arracher les cheveux !
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