lundi 27 février 2017

Claudinettes

Si les colchiques annoncent dès août la fin de l'été, en symétrique, les claudinettes (Leucojum vernum) annoncent dès février la fin de l'hiver. Elles étaient en grand nombre et déjà bien fleuries ce dimanche dans la vallée du Chahalot.




dimanche 26 février 2017

Chardon lorrain - Qui s'y frotte s'y pique #429

Lorrains, les Ménileux sont basés à Marbache et ils chantent aux intonations de la Bretagne, de l'Irlande…
La rencontre de ces régions mêle donc le triskel et le chardon lorrain
Images et vidéo sur leur page facebook 


samedi 25 février 2017

Une bestiole à l'étang

Il faisait froid, ce jour là, quand nous avons fait le tour de l'étang gelé. Non, nous ne l'avons pas traversé, c'était peut-être possible, mais je crains l'eau froide, et puis, le but d'une balade, ce n'est pas de prendre les raccourcis, sinon, autant rester chez soi !
Arrivés entre Moselle et étang, une forme terreuse a attiré mon attention. On aurait pu penser à une grosse taupinière. En s'approchant un peu, ça ressemblait à une boule de poil. Animal mort ? voyons, voyons ! approchons… un nez, des moustaches, des quenottes, des yeux qui nous regardent : aurions-nous la chance de rencontrer un castor ? C'est alors que l'animal prend brusquement ses jambes à son cou et se carapate pour se caler dans les racines sur les berges de l'étang. Nous ne l'avons pas revu ! J'ai juste eu le temps de prendre une photo en automatique, pas le temps de faire de fins réglages. Voilà ce que ça donne, ça vaut ce que ça vaut !


NB : il s'agit d'un ragondin, de belle taille.

vendredi 24 février 2017

Sorcy : carrière du Menton

Au-dessus des fours à chaux, la carrière qui va avec. C'est blanc, comme neige, même aux alentours.
C'est très bien décrit sur le site de l'académie Nancy-Metz (les amateurs de géologie apprécieront) : carrière de Sorcy.



vendredi 17 février 2017

Balade en Meuse, entre Grimaucourt-près-Sampigny et Ménil aux bois

Se balader en Meuse, à la mauvaise saison et afin d'éviter de tomber sur une chasse, ça peut consister à aller d'un village, de préférence inconnu, à une autre, tout aussi inconnu.
Notre choix s'est porté sur deux petits villages qu'on ne connaissait donc ni d'Ève ni d'Adam ; pas même de nom, pourtant, j'ai dû bien des fois passer par le premier qui se situe sur la ligne de chemin de fer Nancy-Paris via Bar-le-Duc. Le flux assez dense de TER, trains de marchandises trouble régulièrement la quiétude de la vallée.
Ménil-aux-bois (43 habitants) et Grimaucourt-près-Sampigny (97 habitants) sont deux communes sur le plateau du Barrois.
D'après le guide routier, nous pensions nous trouver sur un chemin, or, celui-ci était goudronné tout le long.  Nous n'aurions pas dû prendre un raccourci en traversant un champ de céréales. Du coup, on a rapporté "un peu" de Meuse sous nos godillots. Mais si on était restés sur le dur, nous n'aurions peut-être pas vu le chevreuil qui nous a regardé un long moment, au coin du bois. Un peu loin pour mon appareil, je n'avais pas monté l'objectif approprié… mais je l'ai quand même, tout comme un V de grues, témoin des premières migrations du retour. Il en est passé plusieurs petits groupes, volant en direction de Nord-Est en criant leur sonore et incessant "krou-krou-krou" permettant de les localiser.
En revanche, pour rentrer en voiture, nous avons rejoint Lérouville via Malaumont par ce qu'on croyait être une route, mais n'était qu'un chemin blanc. Avec le dégel, on peut imaginer le tableau : ça se voit qu'on revient de la Meuse !
Étape incontournable à Commercy, pour faire le plein… de madeleines royales déclassées à la Cloche Lorraine.

(Timing optimiste ! Surtout qu'ça grimpe !)



En Meuse, on a toujours un problème avec l'outre-Rhin ! Je n'ai pas trouvé d'explication à cette appellation, et à ma connaissance, on ne s'est pas battus dans ce coin en 14/18. Il a été probablement construit par des prisonniers de guerre ?




(Signalétique rustique, mais le danger est réel)

Sur le retour... Barrière de dégel dans un seul sens !



mardi 14 février 2017

Les éventails de Fabienne

Exposition (Fabienne Barbillon et Geneviève Dalier) à voir à l'espace BD de la médiathèque jusqu'au 25 février 2017.






dimanche 12 février 2017

vendredi 10 février 2017

…et la Moselle sauvage, elle passe sagement sous les ponts

Et comme elle n'est pas gelée, les oiseaux s'y sont réfugiés pour y chercher pitance : cormorans, ouettes, canards, cygnes... Il n'y a guère que les hérons qui, la tête dans le coucou, semblent avoir très froid, sur la rive, côté Dommartin.