mardi 22 février 2011

Une autre promenade au bord de l'eau

Canal de la Marne au Rhin, entre Foug et Écrouves.

(Canard anonyme : si quelqu'un connait ?)



























(19 février 2011)


dimanche 20 février 2011

Allo, Toul !



Rue Albert Denis, devant l'abbaye Saint Evre.
(Photos du 11 février 2011)



Ville Haute, plus communément appelée "Croix de Metz".
Centre Commercial Saint Michel.
(Photos du 18 février 2011)




Rue de Verdun, sortie de Toul par la Croix de Metz.
Images d'archives, puisque cette cabine a été démontée depuis.
(Photo du 7 février 2011)

Cygne

Juste un petit cygne, en passant, pour qu'on n'aille pas dire que je n'aime pas cet oiseau.


Ha, en passant, allez voir "Black Swan"... excellent film qui passe en ce moment au Caméo Saint Seb' avec Natalie Portman et Vincent Cassel aussi extraordinaires l'un que l'autre. Ça me réconcilierait presque avec les tutus...

(Photo du 16 mars 2011)

vendredi 18 février 2011

Gilles Laporte

Lauréat du prix Moselly en 1983 pour sa nouvelle "les étoiles de Plaimont", le Vosgien Gilles Laporte est aujourd'hui président du comité et du jury du prix littéraire Erckmann-Chatrian.
Son dernier roman "La Fontaine de Gérémoy" vient de sortir aux Presses de la Cité le 27 janvier 2011 et d'entrer, le 15 février, dans le club des 10 meilleures ventes nationales (catégorie roman) des Maisons de la presse.


"Ce livre raconte l'histoire de deux femmes de Lorraine, la Malie et Julie, et de leurs hommes qui, dans le cadre prestigieux de la station thermale naissante de Vittel, vivent des vies très émouvantes. De 1854 -date de la découverte des eaux salutaires de Gérémoy-, à 1944 -date de l'expédition par Klaus Barbie du dernier convoi de déportés pour Auschwitz- via... Vittel, ces Femmes combattent, vibrent, souffrent, aiment, dévorent la vie, des Vosges à Paris où survivent les mânes de Louise Michel, en passant par le Berry avec le souvenir de George Sand, le Nord avec la mémoire de la catastrophe de Courrières, nous réjouissent et nous bouleversent. Leur détermination et leur courage reflètent ceux de toutes les femmes, de partout et de toujours !"


Le blog de Gilles Laporte : LAPORTEPLUME

mercredi 16 février 2011

Madine, lac des cygnes

Bah, voilà, je vais faire ma vieille : dans le temps, des cygnes, on n'en voyait que sur les bassins dans les parcs.

Un ou deux…

Je ne sais par quel miracle climatique l'animal a tant proliféré, mais c'est un fait que maintenant, on en voit en grand nombre un peu partout, pour la plus grande joie des petits et des grands qui leur apportent leurs croûtons de pain rassis.

Pas bien ça monsieur, madame !

Protégé, l'oiseau ! Un chasseur de mon village qui avait eu la malencontreuse idée de tester son fusil tout neuf sur un individu de passage alors qu'il y en avait encore très peu sur la Moselle en a été pour ses frais ! Il parait que c'est bon. Mais un cygne de Noël, plutôt qu'une oie ou une dinde : fallait oser.
On dit l'animal élégant ! Moi, je le trouve plutôt ridicule quand, le cul en l'air, il gratte dans la vase pour y trouver pitance en l'occurrence de quelques racines qu'il déterre avec son bec de canard. Et pas toujours commode, la bestiole : le couple qui niche dans la morte de La Rochotte, il n'est pas sauvage, mais il vous fait savoir clairement que vous êtes indésirable dans les parages. N'empêche que les œufs, je ne sais pas si ce sont les hérons qui les ont gobés ou quelque chien en vadrouille, mais je n'ai jamais vu de petits… Quant au grisard qui fréquente les lieux ces jours-ci, ce doit être un étranger ou un enfant adopté.
L'autre jour du côté de Montsec, dans les racoins reculés du lac de la Madine, il y en avait une colonie impressionnante et quand 4 ou 5 individus ont pris leur envol, ça a fait un raffut de tous les diables ! On ne pouvait pas les confondre avec les aigrettes blanches dont le vol est aussi élégant que silencieux.












Le lac des cygnes ? La musique, ça va, mais les tutus blancs, désolée, mais je n'aime pas du tout.


(photos du 13 février 2011)

mardi 15 février 2011

Bornes Vauthier : Regniéville-Flirey (54)

Ici on s'est battu pendant 4 ans, pour un mètre de terrain, perdu, puis regagné, puis reperdu...


Flirey depuis la croix Rochas. Au loin, le Saint Michel, la côte Barine et la côte de Meuse.

En fait, à Flirey, les français n'ont jamais réussi à chasser les Allemands du bois de Mort-Mare. Dans ce secteur proche de Pont-à-Mousson, 4 villages ont été totalement détruits.

Au début des années 20, croyant que c'était la der des ders, on a érigé des monuments aux morts et, sur l'idée d'un ancien poilu, sculpteur de son état, on a balisé le front tel qu'il était le 18 juillet 1918, avant la dernière offensive alliée.
Ce sont les bornes Vauthier.

En voici deux :

(Borne de Régniéville)







(Borne de Flirey)

(6 et 13 février 2011)

dimanche 13 février 2011

Allo, allo... Saint Sigisbert ?

Rue de la Ravinelle, devant l'école privée Saint Sigis'.

(12 février 2011)

La Rochotte






Qu'on me pardonne si j'ai déjà mis des photos de La Rochotte et de la chapelle Saint Nicolas, mais cette résidence d'été des Évêques de Toul datant de la Renaissance est tout de même bien jolie.

(5 février 2011)

vendredi 11 février 2011

Petite promenade au bord de l'eau

"Je te donnerai
Tous les bateaux,
Tous les oiseaux,
Tous les soleils
Toutes les roses,
Toutes les choses
Qui t'émerveillent…"

Michel Polnareff



Une promenade sur l'ancien hallage le long de la Moselle permet de faire des rencontres étonnantes.



Deux grandes aigrettes blanches, lointaines et farouches.

Monsieur et madame canard colvert.

Mademoiselle Filigule morillon, suivie par deux galants, sous l'œil goguenard d'une foulque macroule.

Les traces des quenottes efficaces d'un castor.

"Histoire d'eau" à sec à l'ancienne usine de péniches.

Des guirlandes de clématites en graines dont les plumets filtrent la lumière.



Il y a aussi le vieux pont rouillé qui mène à l'écluse 52.









Des dunes de sable avec de drôles d'épaves.

Et un rideau de phragmites qui voile le village.


(5 février 2011)