J'avais énormément aimé cette visite, et j'avais été frappé par sa modestie. Il ne s'agit pas ici d'un quelconque Disneyland de la mine, en dehors de la lumière, et de la malheureuse sono d'attente, on se retrouve plongé sans artifices, avec un immense humanité, quoique brouillonne (c'est le prix à payer: je le paye cent fois s'il le faut!), dans une ambiance que nous ne pourrons qu'effleurer malgré la totale immersion qui se fait naturellement, encore une fois sans grands moyens.
Que nous ne pourrons qu'effleurer, car on sent bien que ce(s) guide(s), qui parlent de leur vie, comme tous ceux qui racontent ce qu'ils ont vécu, ce qu'ils ont été, en particulier dans des lieux ou des situations hors du commun de la majorité, tentent de communiquer l'incommunicable. Cette frustration insolvable est aussi le moteur de la curiosité.
J'ai beaucoup de tendresse pour ces gens et cet endroit (pour si on avait pas compris, hé hé)
J'avais énormément aimé cette visite, et j'avais été frappé par sa modestie. Il ne s'agit pas ici d'un quelconque Disneyland de la mine, en dehors de la lumière, et de la malheureuse sono d'attente, on se retrouve plongé sans artifices, avec un immense humanité, quoique brouillonne (c'est le prix à payer: je le paye cent fois s'il le faut!), dans une ambiance que nous ne pourrons qu'effleurer malgré la totale immersion qui se fait naturellement, encore une fois sans grands moyens.
RépondreSupprimerQue nous ne pourrons qu'effleurer, car on sent bien que ce(s) guide(s), qui parlent de leur vie, comme tous ceux qui racontent ce qu'ils ont vécu, ce qu'ils ont été, en particulier dans des lieux ou des situations hors du commun de la majorité, tentent de communiquer l'incommunicable. Cette frustration insolvable est aussi le moteur de la curiosité.
J'ai beaucoup de tendresse pour ces gens et cet endroit (pour si on avait pas compris, hé hé)