Forêt humide en plaine de Woëvre, avec la végétation et la faune spécifiques du milieu.
Une jolie mare, peuplée d'iris d'eau en abondance. J'ai juste eu le temps d'entendre plonger les grenouilles, sans avoir vu le moindre œil de l'une d'elles.
Les libellules n'étaient pas plus complaisantes et ne se posaient que de façon éphémère, j'ai quand même saisi cette Libellula dépressa, femelle.
En revanche, c'est fou le nombre de ces chenilles qui traversaient le chemin. La Livrée Malacosoma neustria, tout à fait inoffensive.
Sur le bord du chemin, un belle station de la rare Bermudienne des montagnes ou Herbe aux yeux bleus, Sisyrinchium montanum, plante obsidionale importée involontairement par les soldats américains en 1917 avec le fourrage de leurs chevaux.
Étang Véry, en partiel assec, où pataugeaient aigrettes et hérons en quête de grenouilles.
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