De simples graffitis, pour montrer qu'on existe, pour afficher sa révolte, de préférence sur un mur fraîchement repeint. Parfois dans des endroits improbables : par défi.
Oserais-je comparer tous ces murs d'entrepôts, murs anti-bruit, barricades, palissades, bords de voies ferrées, ponts... aux parois de Lascaux, aux plafonds d'Altamira ?
Tags et graffitis, s'y superposent, sans respect les uns des autres. Les plus beaux sont populaires, pathétiques. Tandis que fresques et trompe-l'œil résistent plus ou moins sous de coûteux enduits de protection.
(Ouais, Francis, tu sais ce que je pense du pissenlit et de l'asticot du cimetière !)
Lascaux-sur-Seine !
Macadam-tag in Paris !
Paris, encore...
...et encore (Butte aux Caille)
A l'ouest ? Rennes !
j'ai rien fait moi!
RépondreSupprimerfrancis
Ceci dit j'aime bien les pissenlits c'est comme les grafitis il y en a qui aiment et d'autres pas.
Je préfère les lardons qui sont avec... miam !
RépondreSupprimerQuelques "ajouts" pourront lui donner une valeur symbolique, sinon artistique.