mercredi 11 février 2009

On écrit sur les murs

De simples graffitis, pour montrer qu'on existe, pour afficher sa révolte, de préférence sur un mur fraîchement repeint. Parfois dans des endroits improbables : par défi.

Oserais-je comparer tous ces murs d'entrepôts, murs anti-bruit, barricades, palissades, bords de voies ferrées, ponts... aux parois de Lascaux, aux plafonds d'Altamira ?

Tags et graffitis, s'y superposent, sans respect les uns des autres. Les plus beaux sont populaires, pathétiques. Tandis que fresques et trompe-l'œil résistent plus ou moins sous de coûteux enduits de protection.

(Ouais, Francis, tu sais ce que je pense du pissenlit et de l'asticot du cimetière !)

Lascaux-sur-Seine !

Macadam-tag in Paris !

Paris, encore...

...et encore (Butte aux Caille)


A l'ouest ? Rennes !

2 commentaires:

  1. j'ai rien fait moi!
    francis
    Ceci dit j'aime bien les pissenlits c'est comme les grafitis il y en a qui aiment et d'autres pas.

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  2. Je préfère les lardons qui sont avec... miam !

    Quelques "ajouts" pourront lui donner une valeur symbolique, sinon artistique.

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Dis-moi voir ?