vendredi 30 novembre 2018
jeudi 29 novembre 2018
Lumière !
Dieu dit : "Que la lumière soit." Et la lumière fut.
Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres.
Dieu appela la lumière "jour", et il appela les ténèbres "nuit". Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour.
Le livre de la Genèse. Chapitre 1 (3 - 4 - 5)
Dieu vit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres.
Dieu appela la lumière "jour", et il appela les ténèbres "nuit". Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le premier jour.
Le livre de la Genèse. Chapitre 1 (3 - 4 - 5)
mercredi 28 novembre 2018
mardi 27 novembre 2018
lundi 26 novembre 2018
dimanche 25 novembre 2018
Chardon lorrain - Qui s'y frotte s'y pique #515
Un chardon qui dormait dans mes fonds de tiroirs.
Pour la date et vu le lieu, je pense qu'il y a du Bouloumié derrière.
Pour la date et vu le lieu, je pense qu'il y a du Bouloumié derrière.
(Photo prise au marché de Noël de Sion en 2017, désolée pour la qualité)
samedi 24 novembre 2018
vendredi 23 novembre 2018
jeudi 22 novembre 2018
Coq et clocher : Charmes-la-Côte (54)
Église de la Nativité de la Vierge Marie. Situé en haut du village, l'édifice domine la plaine, avec une belle vue vers l'Est.
Clocher trapu, l'entrée dans l'édifice se fait par sa face sud. Chevet du XVe siècle percé de 3 baies gothiques.
Clocher trapu, l'entrée dans l'édifice se fait par sa face sud. Chevet du XVe siècle percé de 3 baies gothiques.
(Vue depuis la rue Montapic)
"L'église est composite. Le chœur est gothique avec une voûte assez plate, presque romane, maintenue par une croisée d'ogives à 6 nervures. Les fenêtres sont nettement gothiques. Les vitraux sont de différentes époques, celui du fond étant indiqué 1867. Des boiseries de style Louis XV courent le long des murs et il existe encore un vieux lutrin. La nef construite en 1732, a dû remplacer certainement une nef ancienne devenue trop étroite. À un certain moment on a dû faire une extension de son côté gauche, car l'autel de la Sainte Vierge dispose de plus de place de ce côté que l'autel du Sacré-Cœur, disposé du côté droit. Le plafond est plat, d'une grand simplicité et les fenêtres sont d'inspiration romane. À remarquer, fixée au mur, une grotte de Lourdes avec Sainte Bernadette ; le tout traité en trompe-l'œil, témoin d'une époque.
Le clocher, servant de porche, a été rénové en 1840. Trapu et carré, il n'est pas d'une grande hauteur, mais sa position stratégique le fait remarquer de loin, et par ses ouïes cintrées, le son des cloches s'écoule facilement sur le toit des maisons."
Extrait de
CHARMES-LA-CÔTE
Le vilage aux belles granges
Théo Saintot,
avec l'aimable collaboration de Monsieur le Maire
Janvier-février 1985
mercredi 21 novembre 2018
CAFÉ COMMERCE
Qu'est-ce que je vous sers, pour vous réchauffer, ma p'tit' dam' ? Un café, un thé, un vin chaud ou un chocolat ?
mardi 20 novembre 2018
lundi 19 novembre 2018
dimanche 18 novembre 2018
Chardon lorrain - Qui s'y frotte s'y pique #514
Art des tranchées. Douille d'obus présentée à l'exposition du centenaire les 10 et 11 novembre 2018 à Charmes-la-Côte.
Merci, Vincent and Co !
Merci, Vincent and Co !
samedi 17 novembre 2018
vendredi 16 novembre 2018
Le Ginkgo du jardin de l'Hôtel de Ville
Ses 40 écus valent de l'or !
Classé "Arbre remarquable" en 2015.
Les fruits de cet individu femelle puent. J'ai testé ! Heureusement, il y a un bassin pas loin pour se rincer les doigts.
Classé "Arbre remarquable" en 2015.
Les fruits de cet individu femelle puent. J'ai testé ! Heureusement, il y a un bassin pas loin pour se rincer les doigts.
jeudi 15 novembre 2018
Charmes-la-Côte : le monument aux morts
Bien que d'un modèle que je n'avais jamais vu ailleurs, le monument est comparable à celui de Pagney-derrière Barine. Je n'ai rien trouvé sur son concepteur/sculpteur. (*)
Un poilu portant un drapeau dans sa main gauche et son fusil (tronqué) dans la droite, y est représenté bas relief sur une colonne surmontée d'une croix qui, contrairement à Pagney n'est pas ici une croix de Lorraine.
Sur le socle, une couronne de fleurs traversée par une palme. Juste en dessous, l'inscription : LA COMMUNE DE CHARMES-LA-CÔTE À SES ENFANTS MORTS POUR LA FRANCE est comparable à celle de Pagney.
Photos prises le 11 novembre 2018.
Édit : (*) oeuvre de Trousset, sculpteur-marbrier, à Toul. Merci à Vincent Lamarque, Carpinien érudit, pour l'information.
Un poilu portant un drapeau dans sa main gauche et son fusil (tronqué) dans la droite, y est représenté bas relief sur une colonne surmontée d'une croix qui, contrairement à Pagney n'est pas ici une croix de Lorraine.
Sur le socle, une couronne de fleurs traversée par une palme. Juste en dessous, l'inscription : LA COMMUNE DE CHARMES-LA-CÔTE À SES ENFANTS MORTS POUR LA FRANCE est comparable à celle de Pagney.
Photos prises le 11 novembre 2018.
Édit : (*) oeuvre de Trousset, sculpteur-marbrier, à Toul. Merci à Vincent Lamarque, Carpinien érudit, pour l'information.
mercredi 14 novembre 2018
Rencontres animalières de fin de saison entre Bruley et Pagney-derrière-Barine
Du plus gros au plus petit : un cheval, un chat, un couple de Chrysomèle noire qui se croit au printemps, Robert-le-Diable en compagnie d'une guêpe, une abeille butinant du lierre.
mardi 13 novembre 2018
lundi 12 novembre 2018
dimanche 11 novembre 2018
11 novembre : hommage
À l'heure où s'achèvent (?) les commémorations du centenaire de la première guerre mondiale, où les villageois se réunissent devant leur monument aux morts avant de partager le verre de l'amitié, à défaut de celui de la Paix ; à l'heure où toutes les cloches du pays vont sonner d'allégresse comme elles l'ont fait le 11 novembre 1918 ; à l'heure où les 11 cloches de la cathédrale de Toul font vibrer les tours de Saint-Étienne, je veux rendre hommage à quelques poilus, rapatriés par leurs familles dans d'humbles cimetières, celles-ci ayant préféré les avoir près d'elles, plutôt qu'ils soient enterrés dans des nécropoles.
Toutes mes photos ont été prises en Meuse, et si c'est une coïncidence, ce n'est sans doute pas un hasard.
Je ne peux être à la fois dans mon village, sur la parvis de la cathédrale de Toul, dans la nécropole de Flirey, devant la tombe d'Émile et Edmond Jëol, et dans une discrète nécropole aux croix noires, mais je suis, par la pensée, avec Faye Roche, mon grand-père, blessé par deux fois (en 1915 et 1917) et gazé, qui en a réchappé, et a continué de vivre avec des souvenirs ensevelis au plus profond de lui-même.
Toutes mes photos ont été prises en Meuse, et si c'est une coïncidence, ce n'est sans doute pas un hasard.
Je ne peux être à la fois dans mon village, sur la parvis de la cathédrale de Toul, dans la nécropole de Flirey, devant la tombe d'Émile et Edmond Jëol, et dans une discrète nécropole aux croix noires, mais je suis, par la pensée, avec Faye Roche, mon grand-père, blessé par deux fois (en 1915 et 1917) et gazé, qui en a réchappé, et a continué de vivre avec des souvenirs ensevelis au plus profond de lui-même.
Paris le mardi 13 mars 1917