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| Salicaire |
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| Renouée à feuilles d’impatience |
lundi 31 août 2015
Des fleurs rose, plus ou moins vif
dimanche 30 août 2015
samedi 29 août 2015
Si on montait au Donon ?
Le Donon, il se voit de loin, et même, par beau temps, depuis Nancy.
J'ai toujours pensé que ce double sommet (Grand et Petit Donon) ressemblait au dessin du petit Prince : un chapeau ? Un serpent-boa qui aurait mangé un éléphant ?
J'ai même longtemps cru (piètre géologue !) que c'était un ancien volcan, alors que ce n'était qu'une simple colline de grès rose, dominant ses voisines du haut de ses mille et quelques mètres.
Site exceptionnel dont l'intérêt stratégique et symbolique n'a pas échappé aux hommes préhistoriques ni aux Gallo-romains.
La découverte des vestiges antiques a valu la construction au XIXe siècle d'un ersatz de temple en gros blocs de grès vosgien de style néo-romain-rustique, en guise de musée dont les trésors ont été répartis entre Épinal et Strasbourg.
L'accès depuis le col est une agréable balade au milieu des sapins, récompensée par un panorama exceptionnel.
On trouve sur place des panneaux d'explications plutôt bien faits.
Le pseudo temple sur sa dalle de grès rose :
Vue vers le sud
Vers l'Alsace
Vers la Lorraine, Nancy est au loin, cachée dans la brume de pollution estivale :
J'ai toujours pensé que ce double sommet (Grand et Petit Donon) ressemblait au dessin du petit Prince : un chapeau ? Un serpent-boa qui aurait mangé un éléphant ?
J'ai même longtemps cru (piètre géologue !) que c'était un ancien volcan, alors que ce n'était qu'une simple colline de grès rose, dominant ses voisines du haut de ses mille et quelques mètres.
Site exceptionnel dont l'intérêt stratégique et symbolique n'a pas échappé aux hommes préhistoriques ni aux Gallo-romains.
La découverte des vestiges antiques a valu la construction au XIXe siècle d'un ersatz de temple en gros blocs de grès vosgien de style néo-romain-rustique, en guise de musée dont les trésors ont été répartis entre Épinal et Strasbourg.
L'accès depuis le col est une agréable balade au milieu des sapins, récompensée par un panorama exceptionnel.
On trouve sur place des panneaux d'explications plutôt bien faits.
Le pseudo temple sur sa dalle de grès rose :
vendredi 28 août 2015
jeudi 27 août 2015
Un peu de tourisme à Troussey
À Troussey, il y a une église, à voir plus en détail dans ce blog...
Mais surtout, il y a la Meuse, qui passe derrière le village :
Et qui a la fâcheuse habitude de sortir de son lit en hiver, parfois de façon exceptionnelle :
Sinon, elle est bien paisible avec ses nénuphars :
Ses sagittaires :
Ses rubaniers :
Quant aux jardins, derrière la rue principale, ils sont parfois égayés d'un joli foutoir coloré. On peut comparer avec une photo d'un autre blog où je mets que des best of de mes photos. ICI.
mercredi 26 août 2015
mardi 25 août 2015
Le monument morts de Vignot
Poilu en bleu horizon sur un socle de granite rose, brandissant le drapeau français.
Juste derrière poilu, sur le côté de l'église, est apposée une plaque du souvenir français, en hommage à un soldat de la guerre de 70 :
Juste derrière poilu, sur le côté de l'église, est apposée une plaque du souvenir français, en hommage à un soldat de la guerre de 70 :
A LA MÉMOIRE
DE HÉLÈRE ONÉSIME,
Soldat au 1er Régt d'Artillerie, né à Villemer (Yonne)
Fait prisonnier à Sedan, s'est évadé et après avoir erré longtemps
dans le pays occupé par les allemands, est arrivé, tout exténué
à Vignot où il est mort le 20 septembre 1870
_____________
A NOUS LE SOUVENIR A LUI L'IMMORTALITÉ
Mai 1894
DE HÉLÈRE ONÉSIME,
Soldat au 1er Régt d'Artillerie, né à Villemer (Yonne)
Fait prisonnier à Sedan, s'est évadé et après avoir erré longtemps
dans le pays occupé par les allemands, est arrivé, tout exténué
à Vignot où il est mort le 20 septembre 1870
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A NOUS LE SOUVENIR A LUI L'IMMORTALITÉ
Mai 1894